« Nous pensions tous que cela n’était pas envisageable. Nous nous sentions tous en sécurité, dans ce beau pays qu’était la France. Oh bien sûr, la vie n’était pas toujours facile, mais nous n’avions pas à nous plaindre au regard des pays du tiers-monde. Et puis… Tout bascula le 23 septembre. Nous fûmes les cibles d’attaques nucléaires, dont nous ignorons encore l’origine d’ailleurs. Paris, Lyon, Strasbourg, Lille sont tombées. Ou du moins, c’est ce que j’imagine. Le pays a alors été plongé dans une crise sans précédent. Nous, pauvres habitants d’un patelin en Normandie n’étions pas préparés à cela. Nous avons perdu des proches et, depuis peu, nos foyers. L’Homme est un loup pour l’Homme. Nous en avons fait les frais. Alors que nous faisions face tant bien que mal, nous avons été attaqués et chassés de notre ville. Nous avons erré quelques semaines avant de tomber sur un camp de réfugiés, érigé autour d’une station-service, non loin d’une nationale. Nous y avons été accueillis, et pour l’heure, nous sommes tous heureux de pouvoir de nouveau dormir sous un toit, même si ce n’était n’est qu’une toile de tente. Avec l’hiver nucléaire, nous avons perdu de nombreuses personnes. Je ne les compte plus d’ailleurs. Pour l’instant, nous sommes en sécurité… Pour l’instant en tout cas. Qui sait ce que ce foutu destin nous réserve encore… Finalement j’en viens à me dire que… Les plus chanceux sont ceux qui sont morts dans l’explosion…
Nous demandons un minimum de 260 mots. Nous n'acceptons pas la morosité et les mauvaises têtes. Souriez ! Vous êtes là pour vous amuser. Nous en sommes à la version 7 du forum ! Et oui déjà, ça va vite :) Design et codage (c)Kanala
Le code civil du forum est le tout premier endroit dans lequel vous devez vous rendre. Vous trouverez dans cet endroit une vraie mine d'or en termes de savoir. Au programme : notre histoire, nos intrigues, notre chronologie, nos annexes, et notre règlement intérieur. Pour intégrer le forum, ce passage est obligatoire et primordial surtout pour évoluer au mieux parmi nous. Accessibles seulement aux membres, ces derniers trouverons également nos annonces.
Les registres de Louiville sont des outils qui peuvent se montrer très utiles pour les futurs membres en mal d'inspiration ou désirant tout simplement commencer avec des liens. Vous l'avez compris, c'est ici que se trouvent nos postes vacants. Egalement sont visibles les scénarios créés par nos membres. N'hésitez surtout pas à sauter le pas et prendre un de ses personnages !
Allez c'est parti mon kiki !. Les présentations se déroulent ici. Et oui, comme tout forum qui se respecte, sur "La Chute", vous devez passer l'épreuve de la fiche de présentation. Rassurez-vous, nous ne sommes pas du tout méchant, et on ne mord pas mise à part les personnes qui aiment ça ! On peut même sortir le fouet si vous voulez. Cette partie n'est pas accessible aux invités, pour des questions de préservation de personnage.
Contrairement à celui de votre ville ou village, vous n'avez ici rien à payer ! Elle est pas belle la vie? *sbaff* Le comité des fêtes de "La Chute" sera très heureux de vous compter parmi ses inscrits aux différentes missions. Egalement, il vous proposera de faire vos réservations. Vous pourrez vous amuser, et discuter de tout et de rien surtout de rien en fait *sbafff*. Il possède même sa propre galerie dans laquelle vous serez libre de nous exposer vos créations en tout genre ! Il vous demandera cependant de venir signaler vos absences. Enfin, c'est le comité des fêtes qui gère les archives
On a tous une vie sociale. Si si je vous le jure, même si vous l'ignorez. Et si ce n'est pas encore le cas, bah ne vous en faites pas, on va vous en construire une. Vous aurez l’occasion, ici, de venir faire des demandes de liens, mais également trouver des partenaires de jeu. Vous pourrez vous dévoiler au fil des pages de votre journal intime, si vous décidez d'en écrire un bien entendu. Lieu de prédilection du dialogue, c'est ici que les invités viendront poser leurs questions et éventuellement faire une demande de partenariat. Enfin l'équipe du forum complotera dans votre dos ici même.
Sont accessibles aux invités QUE les parties Partenariats et invités. Les autres forums seront bloqués pour des soucis de préservation du forum
La station-service se situe au bord de la départementale D57, non loin de la sortie « Coutances », en Normandie. Très vite investie par des forces armées après la tombée des bombes, elle est devenue un lieu d’accueil pour tous les survivants français comme étrangers d’ailleurs. L’espace tout autour a été divisé en plusieurs parties différentes et l’organisation au sein de la station-service est assurée, à la fois par les civils, à la fois par les militaires. Très protégée, elle a déjà résisté à plusieurs assauts de forces sans nationalité apparente venue du nord. Pour l’heure, c’est une place forte très sécurisée. De nombreux hommes, femmes et enfants gravitent en son sein. Si les problèmes ne sont pas inexistants, ils restent assez minimes, chacun faisant son possible pour que la vie se déroule au mieux.
La station-service est un espace où beaucoup d'individus gravitent, travaillent, mais surtout vivent. Elle a été délimitée en quatre zones, afin de faciliter la répartition de chacun. De manière très militaire, les espaces ont été appelés « Nord », « Sud », « Est », et « Ouest ». Chaque « district » possède ses caractéristiques et son type de population, même si les réfugiés ne sont pas sectaires et vont souvent vers les autres.
Le camp ne s’est pas organisé tout seul. De nombreux lieux stratégiques s’y trouvent, connus de tous, mais très réglementés. Tout le monde ne peut pas accéder à tous ses endroits. Ou du moins pas sans convocation ou permission exceptionnelle. On ne compte pas moins de six types de structures clefs, assurant la cohésion et la sécurité de cette place conçue comme forte.
La station-service ne pouvant pas tout contenir, des alentours ont été rendus accessibles pour les réfugiés, même s'il leur est recommandé de ne pas trop s'éloigner. Ils le savent, lorsqu'ils passent les portes, leur sécurité ne peut pas être garantie à cent pour cent. C'est d'ailleurs pour cela que tous ne se rendent pas dans ces lieux, de peur de mésaventure. Il est déjà arrivé que certains d'entre eux disparaissent ou soient retrouvés morts et dépouillés de tous objets. La prudence sera donc votre meilleure alliée si vous mettez un pied dehors...
Le château de Gratôt se situe dans le département de la Manche, en basse-Normandie. Place forte pendant des siècles, c’est à présent un des monuments historiques très visités par les touristes passant par là. Enfin, ça c’était avant que le monde ne parte en vrille. A présent, c’est un endroit où il n’est pas rare de trouver des réfugiés, souvent de passage. Par ses temps hivernaux, s’installer dans un tel lieu n’est pas une bonne chose. Il y a de nombreux courants d’air, et la température y est très basse. Beaucoup sont morts entre les murs du château, et ce ne seront sûrement pas les derniers… Pour autant, son haut mur d'enceinte permet de trouver refuge, lorsque bandits ou chiens errants s'en prennent à vous pour ne citer qu'eux.
Également située dans la Basse-Normandie, c'est une station balnéaire située sur le littoral. Elle était très visitée et très réputée. Désormais, la ville a perdu de son charme et paraît presque déserte, un tant soit peu inquiétante. Il faut cependant s'en méfier car des réfugiés y ont élu domicile. C'est un endroit qui regorge encore de ressources malgré le fait que cette ville semble avoir été pillée de tous les côtés.
Une ville qui aux premiers regards semble bien dévastée. Elle a été touchée de plein fouet par des bombardements. La guerre y a donc laissé ses marques alors que l'on voit des bâtiments détruits ou des enseignes avalées par les flammes. On peut voir également des cratères dans les rues, quelques obus qui semblent intacts et des murs criblées d'impacts de balles et d'éclats. Des corps jonchent le sol, des malheureux qui n'ont pas pu s'enfuir sous l'attaque. Autant dire que cette ville transpire la mort, qui oserait s'en approcher ?
Ville très touristique et dynamique, elle y attirait beaucoup de monde et dépassait chaque année le nombre précédent de touristes. Autant dire que le marché ainsi que les distractions étaient en pleine croissance. Son territoire est très vaste et le village se situe sur une colline. On se demande ce qu'on pourrait y trouver d'intéressant et d'utile par les temps qui courent. Car un lieu touristique tel quel n'attire pas foule.
Louisville est une ville fantôme, point de départ de notre aventure apocalyptique. Ville typique de Normandie avec ses maisons à Colombages, elle est aujourd'hui en ruines après un vaste incendie. Des corps décharnés jonchent ses rues et sur les lieux planent une impression de ténèbres et de mélancolie
Cette zone rurale a été le théâtre de bien des drames. Les Louisvillois, militaires, réfugiés et pillards l'ont longtemps écumée à la recherche de précieuses ressources et du matériel nécessaire à la survie. La zone a depuis été longtemps ratissée, mais compte de nombreux abris
Ces personnes sont toutes celles qui ont été recrutées par les autorités pour faire tourner le camp en lui-même. Chaque personne a probablement des compétences à mettre en commun avec la communauté, mais il s'agit souvent de travaux longs et harassants. D'anciens comptables et secrétaires se retrouvent à tenir des registres des personnes et des compétences rassemblées au sein du camp, tandis que d'anciens ouvriers travaillent à l'élaboration et à l'entretien des défenses. Ceux dont les compétences ne sont pas exploitables par la communauté, artistes, cadres, employés de commerce, sont dévoués aux tâches les plus ingrates mais non moins nécessaires ; inventorier et distribuer les vivres et le matériel, déblayer la neige des voies de communication, ramener l'eau et tout un ensemble d'autres activités. Ce qui motive ces personnes ? Certains diraient leur altruisme. D'autres sont bien plus pragmatiques et ont bien conscience que leur position leur attribue une considération, une protection et une amélioration générale des conditions de vie. Pourtant, toutes les personnes au sein du camp ne sont pas recrutées pour y travailler. Invalides physiques ou psychiques du fait des combats ou des accidents, malades, jeunes et vieux, tous ne peuvent travailler. Et certains ne veulent travailler, continuent de se méfier des autres et ne savent pas s'ils vont rester ou non dans le camp...
Des gens qui n'ont pas froid aux yeux. Majoritairement des civils, parfois encadrés par des policiers ou d'anciens militaires, ces gens sont des survivants nés ou le sont devenus par la force des choses. Ingénieux et compétents, ils apprennent plus facilement que les autres à utiliser les objets du quotidien de l'Ancien Monde et à les assembler ensemble. Adeptes de la débrouille, presque tout est récupérable à leurs yeux. Avec du sucre, des clous et des conserves ils fabriquent des explosifs artisanaux. Avec du fil, des trombones et du tissu ils font des fils de pêche. S'ils ne sont pas tous des combattants, cela importe peu puisque leur travail, s'il peut s'avérer dangereux, ne consiste pas à engager de fusillades avec des soldats ou des pillards ; leur but est uniquement de récolter des informations sur la situation des environs, de trouver et de guider d'autres réfugiés vers le camp, et de fournir celui-ci en matériel et en denrées nécessaires à sa survie. Les risquent sont élevés. Se rendre dans un territoire désolé par la guerre, la faim et la maladie est source de dangers. Certains sont morts suite à des infections récoltées sur le terrain, d'autres ont été tués par d'autres survivants... Mais les vrais héros du camp, ce sont bien eux. Commandés par le Sergent éclaireur Comet ces hommes et ces femmes sillonnent sans relâche la région pour la survie de tous.
Un patchwork invraisemblable d'unités de l'armée de terre, d'unités de police ou de civils volontaires. On recense le reste de la section de reconnaissance du 2ème Bataillon du 1er Régiment de Hussards Parachutistes, un groupe du 2ème Régiment de Dragons, des survivants d'unités cynophiles, blindées ou légionnaires, des gendarmes d'Avranches, des policiers de St Lô et des civils de toute la région. L'équipement est aussi disparate ; on retrouve l'équipement militaire ou policier standard, des prises de guerre ou encore de l'équipement de randonneur et de chasseur. Pour autant, le commandement est relativement unifié. Le lieutenant Raulne a pris la tête de ces forces, secondé par Mathilda Fontaine, une civile qui a su s'imposer auprès des civils rescapés de Louisville, et par l'adjudant Ferregor des Dragons qui commandaient les défenses de la place avant l'arrivée des deux premiers.
Eux, ce sont les nouveaux venus dans le camp. Ils n'ont pas encore eu l'occasion de trouver un emploi au sein de la communauté et sont parfois encore en train de s'adapter à la survie. Les gens de ce groupe viennent de tas de situations différentes. Certains ont vécu en sécurité récemment et avaient réussi à sauvegarder la façade de leur ancienne existence avant que la guerre ne les rattrape. D'autres sont gouvernés par leurs instincts primaires, dont celui de la survie, ce qui occasionne parfois des tensions. Personne n'a encore l'habitude du rationnement et les frictions sont nombreuses en attendant que tout le monde s'adapte à ce nouveau cadre de vie, plus ou moins précaire...
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