La sous-préfecture de Coutances est devenue le chef-lieu d’un groupe de réfugiés armés jusqu’aux dents. Ce groupe est composé uniquement d’hommes d’âge moyen, capables de se défendre face aux autres. Car oui, il n’y a ici que des survivants qui méritent de survivre justement. Les femmes, les enfants et les plus faibles sont mangés tout simplement, pour servir la communauté. Le chef change régulièrement, souvent tué par un autre homme voulant prendre sa place. La vie y est très dure, même si les ressources et le confort ne manquent pas. Alimenté par un générateur de secours, et l’eau courante, il y ferait bon de vivre si tous n’avaient pas peur de finir dans une assiette…
Industrie agro-alimentaire est toujours en fonctionnement. Géré par un groupe de survivants très coriace et violent, cette industrie sert à leurs consommations propres mais aussi leur permet de faire des échanges avec les autres groupes de réfugiés. Ce lieu est très bien gardé, et les hommes n’hésitent pas à tirer sans sommation. Aucun intrus n’est toléré, et les pillards qui ont osé essayer d’y rentrer, ont été pendus et affichés à la vue de tous. On ne rigole pas ici
L’usine a été laissée à l’abandon. Elle n’était pas assez rentable et demandait beaucoup trop de main d’œuvre et d’énergie pour fonctionner. On y trouve encore de nombreuses pièces qui pourraient être utiles pour toutes personnes sachant comment les utiliser… Et surtout les reconnaitre. Si l’usine a déjà été pillée de nombreuses fois, beaucoup sont passés à côté de nombreux éléments très intéressants. A noter que cette usine fabriquait avant des pièces de voitures.
La zone commerciale est assez grande et on peut s’y perdre assez facilement à cause des effondrements de murs. D’ailleurs, il faut se méfier lorsqu’on y met les pieds, et se tenir sur nos gardes. Cette bâtisse n’est plus du tout solide, et un mauvais mouvement peut vous coûter la vie. C’est pour cela que, bien que comportant encore de nombreuses denrées, aucun membre du groupe de survivant local n’y va plus. Trop de pertes, sans vraiment de garanties de réussite.